Jésus, vainqueur de la mort,détache-moi de tout mal,attache-moi à ta croix glorieuse,pour que je ne voie que toi en moi. Fais que je m’abaissejusque dans mon néantpour que tu m’élèves jusqu'à ton cœur brûlant. Porte-moi dans tes bras quand je tombe en chemin,montre-moi ton visage,quand je n’en peux plus. J’avance à petits pasavec mon cœur d’enfant.je prends le bon tournant où je me laisse aimer. Je remets entre tes mains,mon esprit et ton corps,ma prière et ton pardon,mes frères et ta mère. Ô serviteur souffrant,qui donne ta vie par amour,fais entendre ta voix en moi,pour que je m’oublie dans ta joie. Ma prière est parue dans le Prions en Église Canada du 15 septembre 2024, p. 37. Pour aller plus loin, lire ces articles de mon blogue sur la Croix glorieuse:14 septembre: la Croix glorieuse, la vie donnée.La folie de la croix (13 septembre 2017).La croix assumée dans l'amour (12 septembre 2019) Ma vidéo d'une minute sur la charpente...
Le blogue de Jacques Gauthier
Dès l’Antiquité, le mois de mai était reconnu comme le mois de la végétation, des fleurs, de l’amour, des sources. Chez les Romains, on célébrait Maia, déesse de la fécondité. C’est devenu tout naturellement le mois de Marie, surtout à la fin du 18e siècle. On méditait la vie et les vertus de Marie pour s’en inspirer chaque jour du mois de mai. On recommandait d’orner chaque maison de fleurs en l’honneur de Marie. Cette expression de la piété mariale devint très populaire. Dans ma jeunesse, je me souviens qu’on reprenait ce chant en chœur : « C'est le mois de Marie / C'est le mois le plus beau / À la Vierge chérie / Disons un chant nouveau ». Notons que, dans plusieurs pays, la fête des Mères a lieu en mai. Le mois de Marie coïncide toujours avec le temps pascal dans la liturgie de l’Église. Les fêtes de l’Ascension et de la Pentecôte...
Il y a des gens qui pensent que les croyants sont moins intelligents que la moyenne parce qu’ils ont besoin d’une « béquille », Dieu, pour aller de l’avant dans la vie. Ils les considèrent moins critiques, plus naïfs, vivant dans l’illusion et la sensiblerie. Et si la foi relevait de cette intelligence du cœur qui permet de nous dépasser et d’aimer? « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point », écrivait Pascal. Pour lui, le cœur est une meilleure voie d'accès à Dieu que la raison elle-même, qui est limitée. L’intelligence éclairée par l’amour La foi, d’après la philosophe Simone Weil, « c’est l’intelligence éclairée par l’amour ». Elle imprègne profondément notre existence et approche le mystère avec sa propre logique. Elle nous fait entrer dans une autre dimension de sens, un axe vertical, comme si on voyait l’invisible. La foi, qu’elle soit en soi, en l’autre, en Dieu, est...
Dans la Bible, le désert n’est pas un lieu où l’on vit en permanence. On le traverse, sans s’y installer trop longtemps. Le peuple hébreu, guidé par Moïse, parcourt le désert pendant quarante années avant d’entrer dans la terre promise. Jésus, poussé par l’Esprit, « fut conduit au désert […] pour être tenté par le diable » (Matthieu 4, 1). Il jeûne quarante jours et quarante nuits avant de commencer sa prédication de la venue du royaume de Dieu. C'est de là que vient le mot "carême", en latin quaresima, qui signifie quarante. Le désert de l’âme Nous sommes ici-bas « des étrangers et des voyageurs […] « à la recherche d’une patrie » (Hébreux 11, 13-14). Le désert nous révèle que le voyage est intérieur et qu’il sera aride. Nous avons à passer de la tête au cœur, des prières à LA prière. Nous nous ouvrons à l'Esprit qui annonce au désert...
L’ermite missionnaire Charles de Foucauld, canonisé à Rome le 15 mai 2022, définit la prière comme un regard amoureux tourné vers Jésus qui nous regarde avec amour, même si nous ne ressentons pas toujours son amour. « Prier, c’est penser à Dieu en l’aimant », note-t-il dans ses méditations. Que ce soit cinq minutes ou une heure, chacun est libre de fixer quotidiennement un rendez-vous d’amour avec Dieu. Quel est le moment de la journée qui nous convient le mieux pour prier : le matin, le midi ou le soir? La prière va pénétrer toute notre vie si nous fixons un moment précis où nous nous tenons simplement devant Dieu, avec des mots ou en silence. L’important est de persévérer, ou de nous remettre à prier si nous avons arrêté. Il ne faut jamais se décourager, nous sommes toujours des « commençants » dans la prière. Force, courage, consolation La prière donne aux personnes croyantes...
Jésus raconte une parabole à l’intention de ceux qui étaient convaincus « d’être justes et qui méprisaient les autres » (Luc 18, 9). Elle vient après la parabole de la veuve qui demande avec insistance qu’un juge lui rende justice. Jésus conclut en exhortant ses disciples à prier sans se lasser : « Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? » (Luc 18, 7) Le thème de la prière relie donc ces deux paraboles. Dieu seul justifie Jésus met en scène deux hommes qui prient au Temple : l’un est pharisien, l’autre est publicain. Le pharisien se tient debout et il dresse à Dieu le catalogue de ses vertus. Il se vante de jeûner deux fois la semaine et de donner le dixième de ses gains. Ses efforts sont respectables et son attitude semble exemplaire. « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis...
L’amour des ennemis et le pardon mutuel sont au cœur de l’Évangile. Cet amour est réel et exigeant, car il est totalement gratuit. Il ne s’agit pas seulement d’aimer les personnes qui nous aiment, mais d’aimer à la manière de Dieu, librement, pleinement, sans rien demander en retour. Jésus parle de cet amour inconditionnel, qui s’étend jusqu’aux ennemis, au-delà de tout romantisme : « Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent » (Luc 6, 27). Père, pardonne-leur Il y a deux mille ans, Jésus a déclenché une révolution d’amour qui est toujours en marche. Il brise le cercle de la vengeance et de la violence en prônant un amour d’estime et de bienveillance pour l’ennemi : « Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient » (Luc 6, 28). La vie de Jésus témoigne de cet amour-don, spécialement...
L’offrande Je me suis éloignépour mieux te retrouveret lier aux palmiersnos âmes intactes Je frôle ta bouchepour l'échange des soufflesle silence crée des rivagesoù il fait bon s’étendre J'entends l'appel de la colombeplus fort que les rumeursson écho dans le désertparvient au méhariste Ton corps est mon abriqui se dérobe à la tempête l’accord signé sur les dunessable et sang mêlés Nous consumons l’offrandeavec le feu de l’allianceque la mort mêmene saurait éteindre L’alliance Si nous tissons l'alliance intimeassis sur la margelle du puitsdans le miroir de nos désirssans partager nos rêvescomment faire que l'aujourd'huisoit la promesse de demain Si nous sombrons dans les caressesqu'au seuil du lit de nos étreintesquand nos mains se cherchent sans partager nos cœurs comment notre amour rejoindra-t-ill’origine de toute tendresse Si nous menons notre voyagedans l’abîme des différencesmalgré les blessures muettessans partager nos motscomment les années qui passent nous corrigeront-elles de la mélancolie Si nous voulons vivre l'offrandele trop-plein des joies et des peinesles moments d'ivresse et de routinesans...
Voici le 84e article de l'École de prière de mon blogue, commencée en février 2013. Il me semble que je commence sans cesse, que je ne sais pas prier. De fait, nous sommes toujours des commençants dans la prière, nous marchons avec l'Esprit Saint qui prie en nous, qui vient en aide à notre faiblesse, qui nous aide à tenir bon sur les chemins inédits de la prière du coeur, de l'oraison silencieuse, de la contemplation surnaturelle. La prière est un élément constitutif de l’être humain. Présente dans les différentes civilisations, elle provoque une parole qui exprime les croyances et les désirs, souvent de manière poétique et symbolique. Elle révèle notre aspiration profonde à entrer en relation avec un être transcendant qu’on appelle Dieu. Des prières à la prière Quelle a été la première prière de l’humanité? Demande ou louange, personnelle ou communautaire, autour du feu ou au moment de la mort?...
Née à Québec le 30 avril 1897, Dina s’éprend de Jésus dès le début de sa vie. « Jésus m’a mise sur la terre pour ne m’occuper que de lui », écrit-elle dans son Autobiographie. À quatorze ans, elle se consacre à Dieu en faisant une promesse privée de virginité. Douée pour la musique, elle devient, à vingt-quatre ans, une élégante pianiste de concert. Elle entre au couvent Jésus-Marie de Sillery et y fait profession, en 1923, sous le nom de Marie Sainte-Cécile de Rome. Celle que Jésus appelait « ma petite Moi-même » meurt le 4 septembre 1929 à l’âge de trente-deux ans. Elle avait dit à ses sœurs : « Au ciel, je donnerai de la joie ». Une enfant de Marie Dina a toujours eu un amour de prédilection pour la Sainte Vierge. Elle s'était consacrée privément à elle le jour de sa première communion, mais lorsqu'elle entre chez les...
Seigneur, augmente en nous la foi.Nous peinons sous le poids du fardeau.Que ta parole nous travaille en profondeur. Il fait nuit dans notre monde troublé.Comment vivre les crises et les échecssi tu ne les changes en lieux de croissance? Exilés ici-bas, tu nous fais signe sur la croix.Tu nous remets l’Esprit qui souffle où il veut,et nous renaissons de la plaie de ton côté. Nous voulons loger en ton centre divin,vivre au désert intérieur la prière du cœur,y reposer nos têtes comme ton disciple bien-aimé. Tu fais pousser l’ivraie avec le bon grain, ta patience nous ouvre à une vie nouvelle.Merci de nous redonner espoir et confiance. Prière publiée dans la revue biblique Parabole, juin 2021. Le thème est "Sorties de crises"; le dossier: "Expériences bibliques ou d'épreuves traversées. Pour lire gratuitement ce numéro: cliquez ici. Voir aussi le site de Socabi: https://www.socabi.org/parabole/
Alexia Vidot est journaliste à l’hebdomadaire La Vie. Elle a écrit deux livres sur le franciscain saint Maximilien Kolbe, mort à Auschwitz à la place d’un père de famille. Elle nous livre ici un ouvrage passionné et passionnant sur l’extraordinaire témoignage des convertis, Comme des cœurs brûlants. Les convertis peuvent être casse-pieds à la longue, car ils parlent beaucoup de leur conversion, note Bernanos dans Nos amis les saints. Il les compare à ces malades guéris qui vous assomment des détails de leur ancienne maladie. Ils dérangent les chrétiens tièdes qui se contentent d’une vie médiocre, les consciences endormies devant la souffrance du monde, les âmes habituées qui se croient arrivées et qui ne s’émerveillent plus devant le mystère. Mais est-ce la faute de ces pauvres instruments si Dieu a fait irruption dans leur vie sans crier gare, les retournant comme un gant par pure gratuité et miséricorde? Ils ne sortent pas indemnes du...
Le pape François a causé une certaine surprise le 8 décembre 2020 en décrétant une année spéciale dédiée à saint Joseph à l’occasion du 150e anniversaire de sa proclamation comme patron de l’Église universelle. Il a publié une lettre apostolique intitulée Patris corde (Avec un cœur de père) pour marquer le début de cette année spéciale qui se terminera le 8 décembre 2021. Écrite durant la pandémie du COVID-19, François nous livre ses brèves réflexions bibliques et spirituelles sur l’humble charpentier Joseph, gardien de la Sainte Famille, « l’homme qui passe inaperçu », « si proche de la condition humaine de chacun d’entre nous ». Une vie donnée En méditant la parole de l’ange à Joseph, « lève-toi, prends avec toi l’enfant et sa mère » (Matthieu 2, 13), le pape confie que « le but de cette lettre apostolique est de faire grandir l’amour envers ce grand saint, pour être poussés à implorer son intercession et pour imiter ses vertus...
Depuis une vingtaine d’années, je donne des retraites dans des paroisses et maisons de prière, ainsi qu’aux prêtres, religieux et religieuses lors de leurs retraites annuelles. Celle que j’anime sur l’oraison correspond bien à l’essence même de ce que doit être une retraite chrétienne : un temps gratuit pour Dieu, une rencontre du Christ, une expérience de conversion du cœur dans l’Esprit. L'oraison est cette forme de prière qui consiste à être en présence du Christ, à se tenir en silence devant lui, non pour faire le vide, mais pour entrer en communion d'amour avec lui, malgré les distractions. C'est un don, mais Dieu ne le refuse pas à celui qui prie. S’ouvrir au don de l’oraison chaque jour est le meilleur moyen pour accéder à une vie chrétienne profonde où la sainteté n'est pas absente. La retraite a pour objectif de renouer avec ce cœur à cœur qu'est l'oraison. Il ne...
La pandémie du COVID-19 révèle notre fragilité et démasque l'illusion de notre toute-puissance. Malgré la distanciation que nous impose le virus, nous sommes engagés dans une aventure commune qui nous rend solidaires, plus sensibles aux inégalités sociales et aux gestes de bonté. Le temps s’est comme libéré, imposant un autre rythme, plus lent, plus intérieur, nous sortant de la routine habituelle. Quelle belle occasion de revenir à l’essentiel, revoir nos priorités, devenir plus humain. Pour les chrétiens, c’est le moment favorable d'approfondir la foi au Christ, de découvrir le trésor de la présence de Dieu en nous, de faire de nos familles des petites églises domestiques où Dieu se donne et se révèle dans l'amour et la prière, dans le désir de la communion spirituelle. Dans sa Passion, Jésus s’est fait solidaire de notre souffrance en la prenant sur lui, en nous aimant « jusqu’au bout » (Jean 13, 1). Cette solidarité témoigne de l’amour du Père et...
J’aime m’asseoir devant les crèches de Noël et méditer en silence le mystère de l’Incarnation du Fils de Dieu. J’y vois un signe merveilleux de l’amour invincible du Père pour nous, lui qui a « tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique » (Jean 3,16). Pendant l'Avent, je prends davantage conscience que Dieu est toujours à l’œuvre dans ma vie. "Dieu est à l'oeuvre en cet âge / Son jour va se lever!" (Didier Rimaud). Il m'aide à devenir amour, comme lui. D’abord, par mon existence même qui demeure le lieu par excellence de mon expérience de Dieu. Ensuite, par la joie que j'éprouve à le suivre et à annoncer la Bonne Nouvelle dans les différents rassemblements où je suis invité à porter le Verbe qui parle du coeur au coeur: communautés, paroisses, groupes de prière, monastères. Pour tenir bon dans l'espérance et habiter la maison du coeur, je me ressource chaque jour dans le silence de...
Les évangélistes montrent souvent Jésus qui se retire seul, à l'écart, pour prier son Père. Que lui dit-il dans cet échange de deux regards, de deux désirs? Peut-être bien la même demande qu’à la Samaritaine : « Donne-moi à boire » (Jean 4, 7). Peut-être loue-t-il son Père parce qu’il révèle ses secrets aux plus petits. En réalité, nous ne connaissons pas vraiment le contenu de la prière de Jésus. En revanche, nous savons que pour lui la prière découle d’une attitude intérieure faite de foi et d’amour, de confiance et de persévérance envers Dieu qu’il appelle Abba, « papa ». Si Jésus aime s’entretenir seul avec son Père, il prie aussi en compagnie de ses Apôtres, comme il l’a fait sur la montagne de la transfiguration (cf. Luc 9, 29). Il expérimente l’amour transformateur du Père qui lui donne force et consolation pour continuer d’annoncer la Bonne Nouvelle du Royaume. Nos...
Dina Bélanger est morte de tuberculose le 4 septembre 1929 à l’âge de trente-deux ans. Nous célébrons donc cette année le 90e anniversaire de son entrée dans la vie éternelle. J'ai animé un triduum-retraite sur sa spiritualité chez les Religieuses de Jésus-Marie à Québec, dans la nouvelle paroisse Bienheureuse-Dina-Bélanger. C'était la première fois qu'une telle activité avait lieu, ainsi que le lancement de mon livre, Je donnerai de la joie. Autre nouveauté, qui sera peut-être le début d'une tradition: nous avons fait un pèlerinage en marchant sur les pas de Dina dans les rues de Québec. Une vie centrée sur le Christ Qui est cette âme privilégiée qui n'a voulu vivre que pour Jésus, à la suite de la Vierge Marie, et qui avait écrit: « Jésus m’a mise sur la terre pour ne m’occuper que de lui » ? Dina naît à Québec le 30 avril 1897, année de la mort de sa patronne, Thérèse...
Si la première communion est un moment important pour chaque baptisé, elle est déterminante dans la vie des bienheureux et des saints, comme Dina Bélanger. À l'approche de la célébration du Saint-Sacrement du Corps et du sang du Christ, appelée aussi Fête-Dieu, je vous partage des extraits de mon livre: Je donnerai de la joie. Entretiens avec Dina Bélanger. Née à Québec le 30 avril 1897, la jeune Dina s’éprend rapidement de Jésus. « Jésus m’a mise sur la terre pour ne m’occuper que de lui », écrit-elle dans son Autobiographie (5e édition, 1995). À quatorze ans, elle se consacre à Dieu en faisant une promesse privée de virginité. C’est à cette époque qu’elle lit l'Histoire d'une âme de Thérèse de l’Enfant-Jésus, qui deviendra sa patronne avec sainte Cécile. Douée pour la musique, elle devient, à vingt-quatre ans, une élégante pianiste de concert. Elle entre au couvent Jésus-Marie de Sillery et y fait profession, en 1923,...
Dans le christianisme, la méditation signifie surtout deux choses : une forme de prière intérieure et une manière de « ruminer » la Parole de Dieu, appelée lectio divina. La première forme est appelée oraison ou prière contemplative, et s’est surtout développée à partir des écrits de Thérèse d’Avila et de Jean de la Croix. La lectio divina d’abord été pratiquée chez les Pères de l’Église et les moines. Les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola sont une autre manière de méditer la Parole de Dieu. Se tenir au centre C’est le mérite du moine bénédictin John Main (1926-1982), et de son fils spirituel Laurence Freeman, d’avoir rendu accessible une forme de prière très simple qui remonte aux premiers siècles de l’Église et qu’on avait un peu oubliée. Pour Main, le mot « méditation » veut dire : se tenir au centre de notre être, c’est-à-dire en Dieu. Il va s’appuyer sur ce que dans l’hindouisme on...
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