Il y a de ces jours où l'Évangile est d'une actualité criante, comme cet extrait du 22 novembre: "Quand Jésus fut près de Jérusalem, en voyant la ville, il pleura sur elle; il disait: "Si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui peut te donner la paix! Mais hélas, cela est resté caché à tes yeux" (Luc 19, 41-42). "Salem"! Paix. "Shalom! Paix. Israël, Cisjordanie, Palestine, qu’on se dispute toujours pour une question de territoire. Que de balles et de pierres, de larmes aussi, parce que c'est l'autre qui a commencé, parce ce n'est jamais moi. Le carré de sable n'est plus un terrain de jeu. C'est bien connu, la violence engendre la violence. Ne devrions-nous pas aussi pleurer sur Jérusalem et Gaza qui refusent la visite de la paix, comme au temps de Jésus? Ne faut-il pas prier pour que tombent les murs et que se lèvent les barrières?...