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Le blogue de Jacques Gauthier

Marie dans la vie de Georgette Faniel

Georgette Faniel, surnommée Mimi, est une femme célibataire qui vécut discrètement à Montréal de 1915 à 2002, dans le don total de sa personne au Christ. (Lire sa vie dans mon livre Georgette Faniel, le don total (Novalis) et voir ma vidéo sur elle dans ma chaîne YouTube

Elle s’est offerte au Père avec le Christ pour l’Église et le monde, témoignant de l’amour insondable de Dieu pour nous. Sa vie, ponctuée d’épiphanies étonnantes (stigmates, noces spirituelles, transfixion, etc.), est demeurée humble et joyeuse dans le service des pauvres et l’écoute des gens. Elle n’aimait pas qu’on la définisse comme une « mystique », car elle se voyait comme une femme ordinaire, à l’exemple de Marie. « Je suis une simple servante de Dieu », disait-elle. On la voit ici à l'âge de 20 ans.

Mimi 20 ans

Je vais dégager dans cet article quelques éléments de sa relation privilégiée avec la Vierge Marie, qui a été un modèle et un soutien tout au long de sa vie. « Merci mon Dieu de nous avoir donné Marie pour Mère et qui, à son tour, nous a donné son Jésus! », écrira-t-elle le 25 mars 1999. 

Présence maternelle de Marie 

Marie est évoquée des centaines de fois dans les notes spirituelles et la correspondance de Georgette Faniel. Elle a vécu toute son existence à l’ombre de Marie qui la conduit efficacement à Jésus. Vers l’âge de six ans, elle entend la voix de Jésus qui lui dit : « Je suis là ». Ce n’est que vers douze ans qu’elle prend conscience que ce n’est pas tout le monde qui vit ces locutions intérieures. Cette voix ressemble à une voix humaine qu’elle perçoit au plus profond de son cœur et parfois à l’oreille. Elle n’en parle à personne et ne pose pas de questions à ses parents. Elle notera plus tard les différences qui existent entre les voix du Père, de Jésus, de l’Esprit-Saint, de la Vierge Marie.

Marie lui parle avec la tendresse et l’amour d’une mère; Elle aime, console, soutient. Elle est pour Mimi un refuge assuré dans les tempêtes de la vie spirituelle. Elle confie à ses accompagnateurs spirituels, les pères Guy et Armand Girard, missionnaires des Saints-Apôtres :

Je ne suis pas une personne à part. Il nous faut être attentif aux inspirations de la grâce que l’on reçoit dans la prière, dans le silence, demandant sans cesse à la Vierge de nous conduire vers le Père avec Jésus.
Il ne faut pas chercher le merveilleux. C’est dans la simplicité du cœur, de l’âme et de l’esprit que Dieu se manifeste. Il nous faut demander à la Vierge Marie avec humilité de nous apprendre comment aimer et servir le Père. L’âme qui demande avec foi et sincérité est toujours exaucée. Jamais le Père ne rejette une prière ! Il a son heure ! Il faut savoir attendre ». (p. 82) (Toutes les citations sont tirées de mon livre Georgette Faniel, le don total

Vers l’âge de 15 ans, elle se consacre à la Vierge dans le mouvement Les Enfants de Marie. À l’âge de 17 ans, elle est engagée comme monitrice dans une colonie de vacances. Un jour, on lui demande de vérifier la profondeur de l’eau. Elle avance au large du fleuve Saint-Laurent, plonge et la voilà emportée dans un remous. Elle tourne comme une toupie, lève les mains pour que l’on vienne à son secours, mais on pense qu’elle joue et qu’elle veut rester le plus longtemps sous l’eau. Elle raconte dans Autopsie de mon âme :

« Alors, je lance un cri à la Sainte Vierge : « Maman, Maman Marie, viens à mon secours, aide-moi s.v.p. »  Et au même moment, j’ai senti deux mains me tenir par la taille et me soulever. Je repris mon souffle, pour continuer à nager vers la grève. Arrivée sur la grève, l’on me disait : « Vous êtes restée le plus longtemps sous l’eau ! Vous avez gagné le record ! » Je n’ai pas dit aux enfants ce qui s’était passé, car je ne voulais pas leur faire peur. La directrice était à Montréal pour une semaine et j’avais la responsabilité de la colonie.  Heureusement que Dieu était avec moi et Marie présente. Aujourd’hui je constate la grande protection du Ciel ». (p. 47)

Face au combat contre le Malin, Mimi n’a que sa foi qui transforme le mal en bien. Elle se laisse broyer par la souffrance comme le grain de blé en faisant confiance à son bien-aimé et à Marie, qui porte du fruit en elle. Tout ce qui peut sembler négatif la rend libre pour l’amour et la joie : obéissance à son directeur, chasteté du cœur et du corps, pauvreté intérieure et extérieure, humiliations, maladies, incompréhensions. Le 25 août 1954, Marie lui révèle ce qui compte vraiment aux yeux de Dieu : « Ma chère petite, reste où mon Fils t’a placée et aussi longtemps qu’il le désirera. Ce qui compte aux yeux de Dieu, c’est l’amour, l’humilité et l’entière soumission à sa Sainte Volonté. Efforce-toi de pratiquer ces trois vertus et tu seras agréable à Dieu. » (p. 107)

Mimi utilise parfois le mot « esclave » pour exprimer son désir d’être totalement au service de son bien-aimé. Elle a probablement emprunté cette expression à saint Louis-Marie Grignon de Montfort qui l’emploie dans son acte de consécration à Marie. Le 1er août 1955, Jésus rectifie ce terme en lui préférant celui d’épouse :

« Ne me dis pas que tu désires me servir comme une esclave, car lorsque tu acceptes de faire ma volonté, qui est celle de mon Père, tu es à ce moment-là ma petite épouse fidèle, ma bien-aimée. Tout ce que je te demande fais-le par pur amour et non par obligation comme une esclave. Remarque bien ma chère petite, on est esclave du démon, on est esclave de ses passions, du monde et non de moi, la bonté infinie. » (p. 89).

Mimi porte sur elle la médaille de Marie Reine des Cœurs. Elle en distribue aussi autour d’elle, invitant les gens à réciter le chapelet. Elle s’offre chaque jour au Père Éternel en passant par Marie. Elle écrira elle-même une prière que la Vierge avait récitée dans un rêve; ce sera la prière du don total, approuvée par le cardinal Léger. En 1960, il autorisera que son directeur, le père Gamache, puisse célébrer l’eucharistie dans une pièce de l’appartement de Mimi. La prière du don total, distribuée en 1981 avec la permission de l’archevêché de Montréal, se termine ainsi : Ô mon Dieu, avec Votre Divin Fils, mon Bien-Aimé, par les mains de Marie Immaculée, je remets dès maintenant mon âme entre Vos mains. Recevez le Don Total de tout amour. Tout est consommé par l’amour. » (p. 126)

L’alliance incrustée dans la chair

Mimi a été choisie par le Père pour vivre l’alliance d’une manière unique dans sa chair. Le 2 février 1982, en la fête de la Présentation du Seigneur au temple, Jésus lui prophétise cette grâce singulière en lui demandant l’union totale, l’acceptation de plus de souffrances, dans le plus grand respect de sa liberté. Le 1er juillet 1982, fête du Précieux-Sang, une marque apparaît sur le flanc droit de son corps, en bas de la hanche. Elle a la forme d’un deux (2), mesure 3 mm de longueur par 2 mm de largeur. Le Père lui demande d’appeler cette signature: « alliance. » Il lui donne la signification de ce pacte d’amour : « Deux dans une même chair ».

Le 19 octobre 1983, Jésus lui précise sa mission de victime d’amour : s’offrir avec lui au Père. Elle est appelée à faire connaître l’amour dans la souffrance par une plus grande intimité en Marie avec le Père, le Fils et l’Esprit. L’alliance incrustée dans son corps signifie une présence réelle de la Trinité dans le monde et un bouclier contre les attaques du démon.

« Ma chère petite hostie d’amour, il y a une nuance très marquée entre associer et partager, et être uni et s’unir! Mais pour nous, selon la Sainte Volonté de notre Père, par une grâce unique, tu es devenue une âme victime d’amour, offerte continuellement avec moi au Père par les mains de Marie Immaculée et par tes deux fils spirituels, P. Guy et Armand, serviteurs de Dieu et des âmes.
Cette alliance que j’ai incrustée sur ton corps n’est pas l’œuvre d’une main humaine. C’est une réalité unique dans le monde, et surtout elle marque bien ma présence. Deux dans une même chair, ne signifie pas seulement la douleur physique, mais bien ma présence réelle dans toute son étendue et selon toutes  les exigences du Père sur toi.
C’est pour cette raison que je t’ai demandé de réciter devant le chiffre deux « 2 » marqué sur ton corps cette prière : Mon Seigneur et mon Dieu, je crois, je t’adore présent dans cette Alliance, pour te glorifier avec Marie. » (p. 168-169)

Marie, consolatrice des affligés

Quand Mimi prend conscience de ses fautes, qui l’empêchent de tout offrir au Père, elle se tourne spontanément vers la Vierge Marie, consolatrice des affligés. Le 6 mars 1985, elle pense que sa pauvreté l’éloigne de Marie qui lui répond avec tendresse :

« Mais non, ma toute petite fille, ne pleure pas. Ta pauvreté me donne l’occasion de m’approcher de plus près pour te prendre dans mes bras de Mère. Plus tu souffres, plus je me tiens près de toi. Je ne vois plus avec les mêmes yeux qu’autrefois. Maintenant, je te regarde avec Jésus, dans cette Alliance, chef-d’œuvre de Dieu le Père Éternel : deux dans une même chair. Sa miséricorde toute puissante a marqué ton pauvre corps pour en faire un temple de prières, de souffrances par le don total jusqu’à la croix, pour soutenir le Saint Père Jean-Paul II et les âmes consacrées. » (p. 171)

À l’exemple de Thérèse de Lisieux, Mimi se trouve au cœur de l’Église pour y être l’amour. Fille de Marie et de l’Église, sa mission d’offrande ne lui laisse aucun répit. Le chiffre 2 n’est pas l’effet d’un caprice ou d’une illusion, mais exprime le don total à Jésus. Pour elle, le signe de l’arc-en-ciel devient inséparable du signe de la croix et du mystère de la Rédemption. Le 8 avril 1987, elle écrit au père Janko Bubalo : « Je demande à Dieu que l'Alliance du ciel et de la terre soit permanente par l'arc-en-ciel, près de la Croix qui représente le salut, la Rédemption. Où il y a une croix, la très Sainte Vierge Marie est présente avec son cœur rempli d’amour. »

Georgette Faniel

L’offrande pour Medjugorje

Le 16 novembre 1985, les pères Girard célèbrent l’Eucharistie chez Mimi dans la pièce qui est un petit sanctuaire dédié au Père Éternel. En leurs noms, elle lui demande s’ils doivent répandre le message de la très Sainte Vierge donné aux voyants de Medjugorje. La réponse se fait entendre après l’eucharistie :

« Pourquoi les aurais-je comblés de grâces, de bénédictions, de faveurs spéciales en rencontrant mon représentant sur terre le Pape Jean-Paul II ? Est-ce qu’un enfant qui aime sa mère a besoin de permission pour parler d’elle ? Pour la faire connaître ? Pour parler de son amour et de sa bonté ? Cependant qu’ils soient prudents et qu’ils aient beaucoup de discernement. Qu’ils agissent selon leur conscience, en demandant l’aide de l’Esprit Saint, pour ne pas devancer le Vatican. Que tout se fasse pour la gloire de Dieu et le triomphe de Marie, Reine de la Paix. » (p. 184)

L’Esprit Saint suggéra à Mimi d’offrir sa vie pour la reconnaissance des apparitions de Medjugorje. Elle noua des liens avec les franciscains et les voyants, dont plusieurs vinrent la visiter à Montréal. Le père Slavko Barbaric célébra l’eucharistie dans son appartement. Du 2 février 1986 au 2 mars 1995, elle a correspondu avec le père Janko Bubalo. Jusqu’à sa mort, le 2 juillet 2002, Georgette Faniel a porté dans sa prière et sa souffrance l’expérience de foi qui se vit à Medjugorje.

Au dire de Suzanne Dignard, qui deviendra sa fille spirituelle, Mimi commençait souvent sa prière en invoquant Marie: «Maman Marie, prête-moi Ton cœur pour prier le Père, Ton Fils Jésus et l’Esprit Saint.» Elle prie pour ceux qui n’y pensent pas » (p. 188)

La dévotion au Père Éternel

Nous ne pouvons pas nier les phénomènes extraordinaires qui apparaissent à différents moments de la vie de Mimi. Mais ce n’est pas là l’essentiel de sa mystique, orientée vers la vie trinitaire. C’est au nom d’un Dieu Père, qui a risqué l’humanité en son Fils, qu’elle croit, espère et aime pour ceux et celles qui ne croient pas, qui n’espèrent pas et qui n’aiment pas. L’amour divin, qui est au cœur même du christianisme, n’est pas un mystère, écrit-elle au père Janko le 25 novembre 1986: 

« C’est beaucoup plus simple. C’est l’amour d’un Père pour ses enfants. C’est l’amour de l’Esprit Saint pour les âmes. C’est l’amour d’une Mère pour nous. Rien de mystérieux. L’amour infini d’un Dieu, Père miséricordieux, l’amour de Dieu le Fils par le don total, l’amour de l’Esprit Saint qui coopère avec nous dans les âmes, l’amour de Marie Médiatrice, d’une Mère pour Ses enfants, maintenant et à l’heure de notre mort ». (p. 193-194)

Mimi fera de sa relation au Père la source de sa prière et le fondement de sa vie. Le connaître, l’aimer, le servir, n’est-ce pas le but de notre existence ? Elle demande à Marie de la conduire au Père comme elle l’a fait avec Jésus, l’aidant à découvrir son immense tendresse et sa patience infinie. En contemplant et en portant elle-même les plaies de Jésus, elle saisit l’amour infini du Père pour chaque personne, spécialement les plus misérables. Elle entend sa voix de l’intérieur qui la reprend avec miséricorde et tendresse, tout en gardant une fermeté paternelle. Elle expérimente qu’il nous aime avec nos faiblesses et nos péchés. « Plus on se sent misérable, plus il est près de nous », écrit-elle, car il est toujours prêt à nous recevoir et à nous pardonner. Cette intimité avec le Père lui permettra de surmonter le désespoir quand la nuit de la foi voilera sa présence.

Elle aime contempler une image du Père Éternel qui lui rappelle sa présence affectueuse. Il lui arrive alors d’être enveloppé de son amour miséricordieux avec une telle ardeur qu’elle croit mourir. Cette expérience d’étreinte amoureuse se renouvelle aussi avec la Vierge Marie :

« Oui cela m’arrive souvent avec Marie, ma mère du Ciel. L’étreinte est différente, c’est plutôt comme un manteau qui m’enveloppe avec douceur et qui m’envahit de la même façon, mais avec une densité moindre. C’est comme si Marie avait la permission d’exercer la Miséricorde du Père envers moi. Mais je dois t’avouer que je ne peux jamais arriver à décrire très bien cette grâce que Dieu me fait. Je ne peux que remercier. » (p. 196-197)

L’amour et la joie ne sont pas incompatibles avec la croix, car ils embrassent toute souffrance, à l’exemple de Marie. Le 28 avril 1991, Mimi le rappelle au père Janko : 

« Une croix acceptée par amour de Dieu devient légère, parce que l’amour est pur et puissant. C’est ce qui a fait la force des martyrs. Cette foi en la puissance de l’Amour de Dieu sur nous dans les épreuves et les croix, dépasse notre intelligence. C’est seulement avec l’humilité de Marie, le pouvoir de la grâce, que nous pouvons saisir un peu le sens des épreuves et la valeur de la Croix. » 

L'entrée dans la vie éternelle

24 juin 2002. Dernière entrée à l’hôpital pour Mimi qui a subi de multiples opérations. Suzanne Dignard en témoigne, se rappelant un message que Marie avait dit à sa mère spirituelle :

« Je serai là près de toi au moment de ton dernier sommeil. Je te bercerai. Je me tiendrai près de toi comme au jour de ton baptême parce que chaque jour en unissant tes souffrances à celles de Mon Divin Fils, tu t’immoles par amour, tu restes toujours près de moi, près de ta croix et tu consoles le Cœur d’une Mère éplorée. » […] Ma Mère spirituelle Mimi approche de son éternité et c’est avec tendresse que je l’accompagne répondant à sa demande d’affection. Je lui murmure un chant à Marie qu’elle aimait particulièrement. » (p. 231) 

Le 2 juillet 2002, Mimi vit ses dernières heures dans la chambre 14 des soins intensifs de l’hôpital Notre-Dame à Montréal. Son visage laiteux contraste avec l’obscurité de la chambre. Le père Armand Girard raconte :

« Je suis auprès de Mimi et j’entends sa plainte comme celle du Christ en croix. « J’ai soif… j’ai soif… » J’ai une petite seringue et je lui donne quelques gouttes d’eau… et elle me dit merci… Je vais faire cela pendant près de 40 minutes. Puis tout à coup je sens que je dois lui parler. Je lui demande pardon si je lui ai fait de la peine durant toutes ces années. Elle me répond : « Jamais tu ne m’as fait de la peine. » Je lui dis : « Chère petite Mimi, tu m’avais demandé de te conduire à la croix… tu es maintenant clouée à cette croix… rivée à la croix… Tu m’avais demandé cela il y a plus de 20 ans. Est-ce que ma mission est accomplie ? » - Elle m’a dit : « Oui ». (p. 233) 

Les funérailles eurent lieu le 6 juillet à la paroisse Immaculée-Conception à Montréal où elle a grandi et vécu. Les pères Girard ont concélébré la messe funéraire avec une vingtaine de prêtres. L’avis de décès paraissait dans les journaux le 4 juillet :

« 1915-2002. Nous avons perdu une grande mystique en la personne de Mme Georgette Faniel. Elle fut dirigée près de 40 ans par les Pères Joseph Gamache et Paul Mayer, jésuites, et près de 20 ans par les Pères Armand et Guy Girard, Pères des Saints-Apôtres. Elle a porté dans son corps la passion du Christ. À tous ceux et celles qu'elle a accueillis, elle a fait découvrir l'amour infiniment miséricordieux du Père Éternel. Par sa prière en son éternité, elle poursuit sa mission au cœur du Père Eternel. Elle laisse dans le deuil son frère Paul Faniel, de nombreux neveux et nièces ainsi qu'une multitude d'amis, ses fils spirituels, les Pères Guy et Armand Girard. » (p. 236)

Pour lire les notes spirituelles de Mimi et voir des vidéos, voir son site Web:
https://www.georgettefaniel.com/fr/  
Voir aussi le site des pères Girard: https://www.lesperesgirard.org

Pour aller plus loin, ma biographie spirituelle: Georgette Faniel, le don total.

Pour lire les autres articles sur Georgette Faniel dans mon blogue: cliquez ici.

Huitième entretien de 31 minutes de la neuvaine à Marie. Première partie: La vraie dévotion à Marie avec Louis-Marie Grignion de Montfort. Deuxième partie: Marie dans la vie de Georgette Faniel.

La consécration à Jésus par Marie
Dina Bélanger et la Vierge Marie

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vendredi 29 mars 2024

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