Jésus, tu es pour moi le visagequi me révèle la miséricorde du Père.Un visage de beauté sur qui descend l’Esprit,un visage de bonté penché sur mon berceau,un visage sauveur qui me recrée au baptême,un visage compatissant à la fraction du pain,un visage de feu qui me transforme en ton amour. Jésus, tu es pour moi la présencequi me travaille de l’intérieur par ta parole.Une présence de ressuscité où je me reconnais vivant,une présence unique dans laquelle je rencontre l’autre,une présence réelle qui m’enveloppe d’adoration,une présence ardente qui me garde dans la foi,où mes yeux s’ouvrent à la lumière de ton mystère. Jésus, tu es pour moi la quêtejamais terminée, toujours recommencée. Une quête de joie qui me met en route avec Marie,une quête spirituelle avec les anges et les saints,une quête silencieuse dans l’oraison matinale,une quête infinie où je murmure ton nom tatoué sur mon cœur en forme de croix. Prière publiée dans le Prions...
Le blogue de Jacques Gauthier
Saint Jean présente Marie debout au pied de la croix. « Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. » (Jn 19, 25-26). Jésus manifeste un amour total en donnant sa mère à l’apôtre Jean, et à travers lui à chacun de nous. L’amour de Marie est aussi grand puisqu’elle accepte de bon cœur cette maternité personnelle et universelle. Elle soutient l’Église par sa présence et sa prière, veille à la croissance du corps mystique de son Fils, guide ses enfants jusqu’au bonheur éternel. « D’un seul cœur, ils participaient fidèlement à la prière, avec quelques femmes dont Marie, mère de Jésus, et avec ses frères. » (Ac 1, 14). Mère de l’Église Les textes...
La piété mariale n’a pas été aussi développée dans l’Antiquité chrétienne comme elle le sera plus tard, surtout après le Moyen Age. La première prière à Marie vient des Evangiles. C’est ce qu’on a appellé par la suite le « Je vous salue Marie ». Cette prière reprend les paroles de l’ange à Marie et quelques mots d’Elisabeth. Les premiers siècles On retrouve dans la catacombe de Priscille à Rome l’image la plus ancienne de Marie (vers 115). La prière la plus antique qui nous soit parvenue est le Sub tuum: « Sous ta garde, nous nous réfugions, sainte Mère de Dieu. Ne méprise pas la prière de tes enfants en détresse, mais délivre-nous de tout danger, ô toujours vierge, glorieuse et bénie ». En 381, le concile de Nicée introduit dans le Credo cette formule en lien avec le Christ : « Il a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait homme ». Cyrille, évêque d’Alexandrie,...
Marie, la « comblée de grâce » n’est pas une sorte de déesse hors du temps, un personnage éthéré loin de notre quotidien. Elle fait partie de cette histoire biblique où des femmes ont eu leur importance, malgré une société fortement patriarcale : Sarah, Myriam, prophétesse et sœur de Moïse, Déborah, Esther, Judith, Houlda, Ruth. Marie, ou Myriam, qui signifie « bien-aimée de Dieu », est née d’Anne et de Joachim, entre les années 18 et 16 avant Jésus-Christ, selon un écrit apocryphe, le Protévangile de Jacques. Elle aurait été présentée au Temple à trois ans. Pour bien connaître Marie, rien ne vaut un retour aux sources : la foi de la première communauté chrétienne. L’expression de cette foi se trouve dans le Nouveau Testament. Un premier regard nous montre qu’on y parle assez peu de Marie. Les Apôtres, et surtout saint Paul, furent discrets sur la mère de Jésus. Pourtant ce silence cache des secrets que...
Nous lisons à chaque dimanche d'août de l'année liturgique B des extraits du chapitre 6 de l’évangile de saint Jean, qu'on a appelé le discours sur le pain de vie. Après avoir multiplié les pains et marché sur les eaux, Jésus livre à ses disciples un enseignement qui ne fait pas l'unanimité. Je vous invite à méditer avec moi ce chapitre que je vous présente brièvement dans cet article et un peu plus longuement dans la vidéo de ma chaîne YouTube. N’oublions pas que l’évangile de Jean fut écrit longtemps après la résurrection de Jésus. Les références eucharistiques que l’on retrouve dans le chapitre 6 sont devenues évidentes après l’institution eucharistique et la pratique sacramentelle de l’Église. Mais les disciples ne pouvaient pas comprendre certaines images eucharistiques avant le dernier repas de Jésus, avant sa mort et sa résurrection. Depuis deux millénaires, l’Eucharistie nous permet encore aujourd’hui de renconter le Christ...
Le 31 janvier 2021, le pape François annonçait l'institution d'une Journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées, qui sera célébrée par toure l'Église le 4e dimanche de juillet, autour de la fête des grands-parents de Jésus, sainte Anne et saint Joachim, le 26 juillet. La première Journée mondiale a donc lieu le dimanche 25 juillet. À cette occasion, le Saint-Père a publié un message très personnel aux grands-parents et aux personnes âgées. Il souligne que les gens âgés ne sont pas des personnes inutiles, contrairement à ce que l'on pourrait penser. Lui-même a été appelé à devenir Évêque de Rome au moment où il avait atteint l’âge de la retraite. "Le Seigneur est toujours proche de nous, toujours, avec de nouvelles invitations, avec de nouvelles paroles, avec sa consolation. Il est toujours proche de nous. Vous savez que le Seigneur est éternel et ne prend jamais sa retraite, jamais." En rappelant...
Seigneur, augmente en nous la foi.Nous peinons sous le poids du fardeau.Que ta parole nous travaille en profondeur. Il fait nuit dans notre monde troublé.Comment vivre les crises et les échecssi tu ne les changes en lieux de croissance? Exilés ici-bas, tu nous fais signe sur la croix.Tu nous remets l’Esprit qui souffle où il veut,et nous renaissons de la plaie de ton côté. Nous voulons loger en ton centre divin,vivre au désert intérieur la prière du cœur,y reposer nos têtes comme ton disciple bien-aimé. Tu fais pousser l’ivraie avec le bon grain, ta patience nous ouvre à une vie nouvelle.Merci de nous redonner espoir et confiance. Prière publiée dans la revue biblique Parabole, juin 2021. Le thème est "Sorties de crises"; le dossier: "Expériences bibliques ou d'épreuves traversées. Pour lire gratuitement ce numéro: cliquez ici. Voir aussi le site de Socabi: https://www.socabi.org/parabole/
Alexia Vidot est journaliste à l’hebdomadaire La Vie. Elle a écrit deux livres sur le franciscain saint Maximilien Kolbe, mort à Auschwitz à la place d’un père de famille. Elle nous livre ici un ouvrage passionné et passionnant sur l’extraordinaire témoignage des convertis, Comme des cœurs brûlants. Les convertis peuvent être casse-pieds à la longue, car ils parlent beaucoup de leur conversion, note Bernanos dans Nos amis les saints. Il les compare à ces malades guéris qui vous assomment des détails de leur ancienne maladie. Ils dérangent les chrétiens tièdes qui se contentent d’une vie médiocre, les consciences endormies devant la souffrance du monde, les âmes habituées qui se croient arrivées et qui ne s’émerveillent plus devant le mystère. Mais est-ce la faute de ces pauvres instruments si Dieu a fait irruption dans leur vie sans crier gare, les retournant comme un gant par pure gratuité et miséricorde? Ils ne sortent pas indemnes du...
Ce que l’on peut expérimenter de plus beau et de plus profond, disait Einstein, c’est « le sens du mystère ». Il ajoutait que ce principe sous-tend la religion et toute entreprise artistique et scientifique sérieuse. L’expérience du mystère prend la couleur de la relation que chacun vit avec lui-même, le monde, les autres, Dieu. Pour les mystiques, le mystère est une voie d’accès à la connaissance que le rationalisme ne peut pas tout expliquer. Leurs écrits nous en apprennent beaucoup sur les rapports entre le désir et le don, l’absolu et l’amour, le corps et l’âme, la parole et le silence, la liberté et la vérité, l’humain et le divin. Notre monde sécularisé avec ses préjugés aurait tort de se priver de ces auteurs uniquement parce qu’ils parlent de foi, de religion, de Dieu. Leurs textes ont une valeur en soi et font partie de l’histoire littéraire. L’épopée de la...
Nous te rendons grâce, Seigneur Jésus, pour le don de l’Esprit Saint à l’Église. Elle est ton corps répandu dans le monde, peuple de Dieu rassemblé pour l’Eucharistie.Emplis nos cœurs de ta lumière bienfaisante. Que le Défenseur qui procède du Père et du Filsnous donne la force de témoigner de l’Évangile.Qu’il nous transforme un peu plus en ton amour,nous purifie de tout ce qui éloigne du Royaume,alors nous demeurerons en communion avec toi. Envoie sur nous ton Esprit de sagesse,et notre tristesse se changera en joie. Qu’il mette en nous tes sentiments de paix,pour que nous la répandions dans le monde. Apprends-nous à voir ce monde avec tes yeux. Que l’Esprit Créateur nous conduise vers toi,qui es le chemin, la vérité et la vie.Qu’il nous rappelle tes paroles de salut pour que nous devenions une bonne nouvelle,une prière qui prolonge ton offrande au Père. Viens, Esprit de Pentecôte et de sainteté,souffle béni et source vive dans nos cœurs, enivre-nous de ta présence...
Thérèse de Lisieux (1873-1897) écrit dans son Histoire d’une âme : «Depuis mon enfance j’avais pour [saint Joseph] une dévotion qui se confondait avec mon amour pour la Ste Vierge» (Manuscrit A 57r). La jeune carmélite n’emploie jamais le mot « dévotion » à propos de Marie, elle lui préfère le mot «amour». Le 19 octobre 1892, elle exprime à sa sœur Céline sa joie d’aimer la Sainte Vierge : A propos de la Ste Vierge il faut que je te confie une de mes simplicités avec elle, parfois je me surprends à lui dire : «Mais ma bonne Ste Vierge, je trouve que je suis plus heureuse que vous, car je vous ai pour Mère, et vous, vous n'avez pas de Ste Vierge à aimer... Il est vrai que vous êtes la Mère de Jésus mais ce Jésus vous nous l'avez donné tout entier... et Lui sur la croix il vous a donnée à nous...
Pour le mois de mai, traditionnellement dédié à Marie, le groupe Une minute avec Marie a demandé à 31 personnalités de parler de leur relation avec la Sainte Vierge. Mon témoignage est paru le 3 mai, fête des apôtres saint Philippe et saint Jacques. Marie la vivante Ma mère avait promis à la Vierge Marie que si l’accouchement se passait bien elle lui consacrerait son bébé. Je fus donc baptisé le 8 décembre, jour de l’Immaculée Conception. Marie a une place centrale dans ma vie. Je l’ai toujours priée. À la maison, nous récitions le chapelet en famille. Aujourd’hui, j’aime bien prier le chapelet en marchant à l’extérieur avec mon épouse. Nous lui avons consacré nos quatre enfants. Cela fait 42 ans que nous sommes mariés et Marie nous soutient, nous console, nous conduit toujours à Jésus. « Tout à Jésus par Marie », disait Louis-Marie Grignion de Montfort. À l’adolescence, je me suis éloigné de...
Voici l'introduction de la nouvelle édition revue et aumentée du livre Les défis de la soixantaine, Paris/Montréal, Emmanuel/Novalis, 248 pages, 2021, 17€, 27,95$. La vie humaine est un chemin en perpétuelle transformation avec ses lignes droites et ses tournants, ses montées et ses descentes. Nous marchons plus ou moins seul dans ce voyage unique, car la route varie pour chacun d’entre nous. Rien n'est tracé d'avance. Naître, grandir et mourir en sont les grands mouvements. Nous avançons en franchissant des étapes et en relevant les défis inhérents à chaque âge : l’enfance, l’adolescence, l’adulte, la vieillesse. Chaque seuil franchi comporte une crise de croissance par laquelle l’individu se fait ou se défait, grandit ou régresse, s'ouvre ou s'enferme. Les âges de la vie sont séparés par des crises. Ils représentent des formes fondamentales de l'existence humaine, des façons caractéristiques de la vie de l'homme aux diverses périodes de sa route, de la naissance à...
L’Église enseigne que les anges nous assistent tout au long de notre pèlerinage terrestre. Mais faut-il leur donner des noms, à part ceux que l’on connaît dans la Bible? Depuis le Concile d’Aix-la-Chapelle en 789, l’Église interdit de composer des listes d’anges qui ne font pas partie du canon des Écritures, et de les invoquer dans les prières. Le Directoire sur la piété populaire et la liturgie de 2001 maintient cette ligne en réprouvant « l’usage de donner aux Anges des noms particuliers, que la Sainte Écriture ignore, hormis ceux de Michel, Gabriel et Raphaël. » (no 217) Pourquoi leur donner un nom? Des gens, catholiques ou non, veulent connaître le nom de leur ange gardien. On peut se demander pourquoi. Est-ce par pure curiosité, pour se sécuriser face à l’avenir, pour exercer un contrôle sur sa vie spirituelle? La tentation est grande de verser dans la pensée magique et la volonté de puissance, ce que...
Je vous partage l'entrevue que j'ai donnée à Sabrina Covic Radojicic pour la revue croate internationale Glasnik Mira. L'article a été publié dans le numéro de mars 2021, p. 20-23. La traduction du français au croate est l'oeuvre de Davorka Jurcevic-Cerkez. Pour voir ce numéro et mon article en croate, cliquez ici. D’où venez-vous, Jacques Gauthier? Je suis né au Québec le 4 décembre 1951, près du sanctuaire marial Notre-Dame du Cap. Je suis le deuxième d’une famille de cinq enfants. Ma mère avait promis à la Vierge Marie que si l’accouchement se passait bien elle lui consacrerait son bébé. Je fus donc baptisé le 8 décembre, jour de l’Immaculée Conception. Marie a donc une grande place dans votre vie? Une place centrale. Je l’ai toujours priée. À la maison, nous récitions le chapelet en famille. Aujourd’hui, j’aime bien « marcher » le chapelet à l’extérieur avec mon épouse. Cela fait 42 ans que...
Semaine sainte 2021, la pandémie de la COVID-19 révèle une fois de plus notre fragilité et démasque nos illusions de toute-puissance. Dans ma région de l'Outaouais, nous sommes de nouveau en zone rouge et en confinement. Toutes les célébrations liturgiques ont été annulées dans ma paroisse. Que faire, sinon continuer à aimer et à prier, comme je le disais dans la première vidéo de ma chaîne YouTube, le 3 avril 2020. Un an déjà. Depuis, j'ai mis en ligne une centaine de vidéos pour vous partager l'essentiel de la foi et de la prière chrétienne. Fécondité inattendue du confinement. La pandémie me fait prendre conscience que nous sommes interdépendants les uns les autres, que « tout est lié », comme l’écrivait le pape François dans son encyclique sur la sauvegarde de notre maison commune Laudato si. J’ose croire qu’aujourd’hui nous sommes devenus plus sensibles aux inégalités sociales et aux gestes de bonté, plus compatissants et...
Voici le dernier de six entretiens d'une retraite sur saint Joseph. Vous pouvez la suivre dans ma chaîne YouTube en visionnant les 6 vidéos de 25 minutes. La vie de Joseph, comme celle de la Sainte Famille, est d’abord cachée en Dieu. Jésus, Marie et Joseph mènent une vie très simple à Nazareth en effectuant avec amour les petites choses du quotidien. Plusieurs de ses paraboles sont probablement inspirées de sa vie à Nazareth. Lorsqu’il parle de semailles et de moissons, du bon grain et de l’ivraie, du figuier sans figues, des ouvriers de la vigne, du bon samaritain, il a peut-être d’abord vu ces réalités dans son village Le silence de la foi Il y aurait beaucoup à dire sur cette vie cachée à Nazareth où, en voyant agir ses parents, Jésus apprend l’accueil de l’autre, le don de soi, le souci des pauvres, la solidarité envers les exclus. Mieux...
Lorsque Jésus enseigne avec autorité dans les synagogues, on s’étonne et on lui rappelle son état civil : « N’est-ce pas là le fils de Joseph » (Lc 4, 22). Ce Joseph, on le connaît bien, c’est l’humble artisan de Nazareth, l’époux de Marie. Matthieu est encore plus explicite, il précise le métier de Joseph : « D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ? N’est-il pas le fils du charpentier ? » (Mt 13, 54). Le fils du charpentier Si Jésus était soumis à son père, il participait sûrement à son travail. Il a peut-être pensé au charpentier de Nazareth lorsqu’il dit dans l’évangile de Jean que son Père céleste est toujours à l’œuvre. C’est ainsi qu’il répond aux Juifs qui le poursuivent parce qu’il a guéri un paralysé le jour du sabbat : « « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. » (Jn 5, 17) Son père était un bâtisseur. Jésus...
Le pape François a dédié l'année 2021 à saint Joseph, soulignant ainsi le 150e anniversaire de sa proclamation comme patron de l’Église universelle. Il a publié une lettre apostolique sur Joseph intitulée Patris corde (Avec un cœur de père). J'en ai fait un résumé dans mon blogue du 13 décembre 2020. J'avais déjà donné six enseignements sur saint Joseph en 2013 pour Foi et Télévision chrétienne, à la suite de mon livre Saint Joseph, homme de foi (Médiaspaul). J'ai décidé de regrouper ces entretiens dans ma chaîne YouTube sous le titre: Retraite sur saint Joseph. Vous retrouvez trois de ces vidéos à la fin de l'article de mon blogue du 19 mars. Voici donc le quatrième entretien qui porte sur la paternité de Joseph. Les deux derniers entretiens seront consacrés à Joseph travailleur et au culte de saint Joseph. L'homme Joseph Joseph est un homme de son temps qui a vécu dans une époque difficile, mais qui a su...
Un ami prêtre du Québec m’envoie le livre posthume du carme Conrad De Meester sur Marthe Robin, avec ce mot : « J’ai lu deux fois avec le plus d’attention possible. Humainement, cela dépasse l’entendement. Mais je confie tout au Père Éternel et à Jésus par Marie. Que ton cœur ne se trouble pas, mais lis ce livre et donne tout à Dieu ». J’ai donc lu, et mon cœur s’est troublé, non pas tant par les révélations du père De Meester, décédé le 6 décembre 2019, que par la manière frontale qu’il les présente. L’accusation est sans merci, dans la logique du titre, qui ne fait pas dans la dentelle : La fraude mystique de Marthe Robin. Pas de point d’interrogation. Le sous-titre, ambigu, inspiré d’un proverbe, me laisse aussi songeur : « Dieu saura écrire droit sur des lignes courbes ». J’ai connu le père Conrad, auteur de premier plan de la mystique féminine carmélitaine. Je...
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